DECONTAMINATION PARODONTALE
Dans le cadre du traitement des maladies parodontales, nous faisons souvent face à des poches parodontales (perte d’attache de la gencive sur la dent, créant
Ces multiples causes peuvent-être : maladies (diabète), stress, anxiété, dérèglement hormonal, tabac, hygiène buccale insuffisante, etc.
Ce dérèglement de la balance naturelle « bonnes bactéries / mauvaises bactéries » va être à l’origine des manifestations inflammatoires : rougeur, douleur et saignement des gencives, voire mobilité des dents.
Ainsi sont établies les maladies parodontales : la gingivite (atteinte des gencives), et la parodontite (atteinte des tissus de soutien de la dent : os, ligament alvéolo-dentaire et cément). Apparaît alors ce que l’on appelle une « poche parodontale ».
Ces deux maladies sont ensuite classées en plusieurs sous-catégories.
Consultation avec le spécialiste pour poser un diagnostic précis (stade de la maladie), et ce dès les premiers signes inflammatoires.
Établissement d’un plan de traitement pour :
Indispensable au maintien d’une santé bucco-dentaire, consistant en des contrôles réguliers avec notre équipe de professionnels de la santé parodontale.
Dans le cadre du traitement des maladies parodontales, nous faisons souvent face à des poches parodontales (perte d’attache de la gencive sur la dent, créant
Le « sourire gingivale » aussi appelé « gummy smile » est le fait qu’au sourire, une partie jugée trop importante de gencive est découverte
Le « Platelet-Rich Fibrin », technique largement éprouvée en médecine esthétique, anti-aging ou encore en régénération de tissus vivants, est une membrane riche en facteurs
On entend par récession parodontale le fameux « déchaussement » des dents. Le constat est simple, la gencive a tendance à régresser et laisser ainsi
LA Recession parodontale On entend par récession parodontale le fameux « déchaussement » des dents. Le constat est simple, la gencive a tendance à régresser
À la Rhone Dental Clinic, au-delà d’une approche purement buccale de prise en charge de la maladie, nous allons au bout de l’investigation et mettons tout en œuvre pour rechercher l’ensemble des facteurs de risques de ces maladies systémiques, qui partagent un pôle de co-facteurs communs.
Les facteurs de risques associés seront par exemple : pathologie cardio vasculaire, lichen plan, maladie bulleuse, maladie de Crohn, polyarthrite rhumatoïde etc. Le facteur commun à ces maladies systémiques ? L’inflammation chronique, comme pour la maladie parodontale. C’est à dire une inflammation active, continue, générant un stress oxydatif.
Le lien entre le stress oxydatif et la parodontite a été démontré : diminution des antioxydants (AO), augmentation des radicaux-libres (RL). Plus l’atteinte est sévère, plus la différence est importante entre les deux facteurs. C’est là un moyen de suivre l’évolution de la parodontite.
La production de ROS (Radical Oxygen Species) et RNS (Radical Nitrogen Species) est normale pour tous les organismes vivant en aérobie et ne constitue pas, en soi, une situation de stress oxydant.
Le stress oxydant devient une situation pathologique dès que le système de protection est submergé par les ROS et RONS, autrement dit lorsque s’installe un déséquilibre de la balance « radicaux libres – anti-oxydants » au niveau cellulaire, se traduisant par une destruction tissulaire. Ce stress oxydatif engendré par une inflammation chronique va également modifier la réponse immunitaire, la rendant moins efficace.
La parodontite n’échappe pas à la règle !
Un simple bilan sanguin du stress oxydatif ou un test salivaire seront d’une grande aide dans la prise en charge de la pathologie pour mesurer les marqueurs de ce stress (glutathion, superoxide dismutase, vitamine C, bilirubine, acide urique, thiols etc.) et mettre en évidence le déséquilibre avéré AO/RL.
Il est donc important de bien s’alimenter en protéines, vitamines et anti-oxydants pour que le ratio radicaux libres/antioxydants soit toujours favorable, évitant ainsi l’apparition de maladies. Dans ce but, des conseils nutritionnels peuvent parfois s’inscrire dans le cadre du traitement d’une parodontite.